De nos jours, le monde a été plus souvent le théâtre de différents attentats qui occasionnent des tueries massives ou des blessés. Il est survenu en France, plus précisément à Paris un attentat au cours duquel de nombreuses personnes ont trouvé la mort. Le procès des personnes impliquées dans l’accomplissement de cet attentat avait débuté en septembre 2021. Ledit procès se poursuit et a connu l’intervention de Mohamed Abrimi cité comme accusé. À travers cet article vous découvrirez les contours de ce procès.
Début effectif du procès de l’attentat du 13 Novembre
L’attentat du 13 Novembre 2015 est l’un des événements qui ont marqué les Français en particulier et le monde en général. Pour en savoir plus, veillez visiter ce site ici même. Les victimes et les proches des victimes étaient dans l’espérance de ce procès, il y a un bon moment. En effet, le procès a lieu dans une salle d’audience construite spécialement à cet effet au sein de l’ancien Palais de Justice de Paris. Ledit procès a débuté le 8 septembre 2021. Les victimes et leurs proches ainsi que des témoins dont l’ancien Président de la République François Hollande ont constitué partie civile au procès. Au regard de l’objet de l’audience, le bâtiment ayant abrité les audiences a été mis sous haute sécurité pour garantir la sécurité des participants.
L’intervention des accusés au Palais de Justice de Paris
Au départ du procès, Salah Abdeslam était le seul survivant des présumés auteurs de cette attaque. On l’a accusé d’être celui qui a posé les kamikazes devant le stade de France. Il s’est présenté au juge comme commandant de l’État islamique. Au lendemain, il est monté à la barre pour défendre les présumés complices qui ont participé à la commission du crime de par la fourniture de faux papiers. Il reconnaît la méconnaissance de ceux-ci du crime projeté. Le second accusé est poursuivi comme membre de la cellule djihadiste qui a perpétré ces attentats en France. Pour sa défense, il mentionne qu’il n’était pas à Paris au moment des faits. Il estime que ces attentats ont été effectués en guise de représailles aux bombardements dont ont été victime l’Irak et la Syrie. La décision du juge sera connue en fin du mois de mai 2022.